Deux appareils jouent un rôle prépondérant lors d’une installation électrique : le disjoncteur différentiel et l’interrupteur différentiel. Afin de les utiliser, il est important de savoir leur fonctionnement et leur différence. Cela donne une assurance de protection de la maison dans laquelle elle pourrait confronter un court-circuit ou un circuit présent lors d’une installation surchargée. Tout d’abord, il est nécessaire de connaitre la différence entre les dispositifs différentiels. Puis, connaitre les aspects fondamentaux de l’installation électrique qui va guider l’intervention d’un installateur.
La différence entre un interrupteur différentiel et un disjoncteur différentiel
Premièrement, un interrupteur différentiel donne le moyen de couper le courant d’un circuit automatiquement ou manuellement dans un défaut d’isolement. Tandis qu’en cas d’un court-circuit, celui-ci ne coupera pas le courant. Deuxièmement, un disjoncteur différentiel est un appareil mesurant la phase d’une mise en place électrique et l’intensité du courant. C’est comme s’il est fait pour veiller et surveiller le courant sortant et entrant d’un habitat. Et contrairement à l’interrupteur différentiel, celui-ci coupe semi-automatiquement le courant en cas d’un échauffement des conducteurs surchargés, c’est-à-dire une surintensité électrique ou un court-circuit. L’interrupteur et le disjoncteur différentiel sont tous les deux des appareils qui assurent la sécurité, mais ils peuvent tous détecter une fuite de courant. Leur différence se situe où l’interrupteur différentiel ne conçoit pas la détection des surcharges et les court-circuites, contrairement au disjoncteur différentiel. Il est important alors de savoir les principes d’un disjoncteur différentiel fonctionnement.
Les aspects fondamentaux de l’installation électrique
Pour procéder à une installation électrique, il y a deux différents types de protections qui sont à comprendre. Ce sont : la protection des personnes et la protection des biens. En les prenant un à un, la protection des personnes s’applique au niveau de l’ensemble différentiel. En cas de défaut d’isolement, cet appareil protègera toutes les personnes qui se trouvent au sein d’une habitation de toute électrisation. Quant à la protection des biens que le disjoncteur visionnaire assure, celui-ci protège tous les appareils branchés seulement au cours d’une surintensité et un court-circuit en coupant juste le circuit en rapport. Il va donc mesurer la distinction entre le courant sortant et entrant d’un circuit électrique. C’est un procédé d’annuler électroniquement le courant d’un circuit. Il est imposé selon plusieurs caractéristiques telles que la forme du courant, de la fréquence, de la tension, la variation de la tension du courant, les dispositifs qui encaissent le fonctionnement en charge et l’intensité du courant. Il ne faut jamais alors placer un interrupteur différentiel sur le départ d’alimentation de tableau appartenant à une division dans le tableau général, car la protection vis-à-vis du court-circuit n’est pas rassurante.
Un choix de dispositif différentiel et son fonctionnement
Le disjoncteur différentiel convient à l’assurance des occupants d’une habitation, car il les protège contre les risques d’électrisations ainsi que d’électrocutions. Il permet d’arranger ces deux types de fonctionnements en assurant aussi la protection des biens tels que les personnes. Un disjoncteur différentiel est facile à distinguer des autres appareils parce que vu à sa taille, il est imposant. En effet, il se compose en trois éléments : un relais qui permet d’animer le disjoncteur dans le cas où il y aura un flux de déroulement défectueux, une bobine qui lui permet de détecter le courant résiduel et un circuit électronique qui filtre subordonné à quelque événement de la perturbation électrique. Or, si le courant est équilibré à la sortie qu’à l’entrée dans le flux normal alors, c’est celui qui est présente un défaut où il manque quelque chose des conditions requises. Il se présente un déséquilibre entre le courant sortant et sortant. C’est alors que le disjoncteur différentiel entre et détecte rapidement le problème en coupant le courant. De sorte que la disjonction instantanée se produit toujours via un champ magnétique qui se trouve à l’intérieur du disjoncteur différentiel. Le disjoncteur n’est parfois ni un sectionneur, nu un interrupteur bien qu’on peut le réarmer dans une coupure de courant. Le disjoncteur est généralement associé à un ou plusieurs dispositifs de sécurité comme le dispositif contre le court-circuit et la surtension, l’interrupteur qui sert à ouvrir et fermer le circuit d’un courant, le différentiel qui mesure la différence entre un courant sortant et entrant, le thermique ou le surcharge d’un circuit dû à un échauffement du courant.
Les différentes sortes d’un disjoncteur différentiel
Il existe trois sortes de disjoncteurs différentiels. Tout d’abord, il y a le dispositif AC visant la protection de certains circuits communs comme les éclairages, les prises, …. Ces dispositifs détectent les composantes alternatives défectueuses. Puis, le disjoncteur différentiel de type A a pour rôle de protéger les circuits qui ont un usage spécial, pour être liés avec les autres appareils électriques singuliers. Celui-là détecte le dysfonctionnement des composantes alternatives et continues. Et la dernière est le disjoncteur différentiel de type E. Il protège les appareils susceptibles comme les congélateurs, les ordinateurs de bureau, à ne pas céder difficilement au choc causé par une petite coupure du courant.